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  • Non-événement (feuilleton de l'été)

    Ouest-France vendredi 25 septembre 2009 :

    Les algues vertes sont elles à l’origine de la mort d’un homme en juillet dernier ? Les prélèvements sanguins du défunt n’ont pas parlé. : Ouest France

    Algues vertes : le sang du camionneur n’a pas parlé

    Du sang avait été prélevé au décès du camionneur qui transportait des algues vertes le 22 juillet à Lantic (Côtes-d’Armor). Ce prélèvement vient d’être analysé afin de savoir si le sang de la victime contenait de l’hydrogène sulfuré (H2S), généralement généré par les algues vertes quand elles se décomposent. Selon nos informations, un résultat partiel indique la présence de ce gaz. Problème : ce résultat n’est pas interprétable en l’état car le corps humain, comme tout organisme qui se dégrade, produit également du H2S. Pour les mêmes raisons, une autopsie n’apporterait pas forcément de conclusion plus probante. Interrogé, le parquet de Saint-Brieuc indique : « Il semblerait qu’il y ait de l’hydrogène sulfuré dans le sang, mais rien de précis. Cela ne permet de rien conclure, tout est possible. » Tandis que dimanche se profile une manifestation sur une des plages d’Hillion, dans la baie de Saint-Brieuc. Une des communes costarmoricaines les plus polluées par la prolifération d’algues vertes.

  • Maurice Denis et la bretagne (japoniaiserie ?)

    Derrière le maître des Nabis on aurait pu imaginer un être plus sulfureux que celui qui apparaît dans ses thématiques visibles sur "La fraction du pain" ou d'autres pieux sujets bretons "l'enclos paroissial de Lampaul"... Pourtant l'effet des bleus dans l'ombre est bien là et même les couleurs négatives saturent sa peinture. Plus tard durant la visite on apprend qu'à son goût les paysages bretons sont propices aux sujets mythologiques (Galatée, le Minotaure...) et particulièrement ceux de Ploumanach - où j'ai personnellement vu la fille d'Hérodiade. Ce bon père de famille (sept enfants) appréciait la poésie de Charles Le Goffic dont le paraphe figure sur une page de garde d'un recueil en sa possession, ils partageaient l'idée selon laquelle l'art est une sacralisation au sens religieux, des sujets. Hélas on se souvient plus de lui aujourd'hui pour ses japoniaiseries d'époques, enluminures fondamentales du Nabi :

    Les Hêtres de Kerduel (1893)