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Moi, la fille de bon vit (se veut d'inspiration jarryque mais d'un jarrysme méconnu)

J'ai de petits seins que les hommes n'évaluent, tant et bien qu'ils regardassent toujours mon cul. Mais mes tétons sont le donjon d'horizons où je suis poétesse et d'où coule ma vue dévolue sur    l'un. Sa langue est l'orvet qui bruisse et la fouisseuse...

- Quelle barbe, je suis sec et seul déjà en à peine trois lignes.

"SINGULUM : Sans avoir m'a laissié tout sengle (Rutebeuf)." Note de bdp, p.8 de l'édition originale (que je fais croire avoir).

Commentaires

  • Nous sommes allés voir les bateaux cette apprès-midi (samedi). En chemin, nous ramassons une figue qui ne mûrira pas, dans la descente nous admirons le cèdre du Liban qui n'aura peut-être jamais son port tabulaire (il est tout juste séculaire) et lorgnons à ses pieds quelque fruit tombé. Rien. Les désirs de notables ne paient plus dès qu'ils trépassent. Au port, la foule des bateaux hélés par la petite, récompense l'effort de la descente en poussette. Nous remontons en lacets et en stations dans ces tournants. À l'une d'entre elles nous observons la vallée du Légué serpenter et s'enfoncer vers les Mines de Trémuson qui avaient dans le temps (fin de pénultième siècle) des galeries où on pouvait s'y baigner. Elles sont le décor onirique d'un passage (Consul Romanus) du roman le plus autobiographique d'A.J. Nous rêvons. La petite admire avec précision les tessons de bouteilles sur le sol.

  • "Jarrysme méconnu" : c'est presque un pléonasme...

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