jardinier binez-moi donc
vous qui foutez quelle qu'onques
entre effeuillée au jardin
pour y mouiller ses chagrins
ne forniquez donc qu'aux marbres
tel prélat les culs trop glâbres
je suis jalouse statue
chaude les soirs sans vertu
mouillez-moi comme se doivent
mollement vos petits zouaves
fourchez-moi la langue à fruits
dans vos ruts de brute à truie
venez me râcler le cul
avec votre noeud tordu
Commentaires
J'aime bien les mots raturés...
ah j'étais pour les effacer vraiment..