Lorsque je frappe de la douille
Des balais je joue la cymbale
D’un trait qui goûte le métal
Le bois le vert de gris la rouille
Ô quel silence va s’écrire
Verrai-je autant mon avenir ?
Dans cette partition au son
De ces tambours à l’unisson
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Lorsque je frappe de la douille
Des balais je joue la cymbale
D’un trait qui goûte le métal
Le bois le vert de gris la rouille
Ô quel silence va s’écrire
Verrai-je autant mon avenir ?
Dans cette partition au son
De ces tambours à l’unisson