J'ai de petits seins que les hommes n'évaluent, tant et bien qu'ils regardassent toujours mon cul. Mais mes tétons sont le donjon d'horizons où je suis poétesse et d'où coule ma vue dévolue sur l'un. Sa langue est l'orvet qui bruisse et la fouisseuse...
- Quelle barbe, je suis sec et seul déjà en à peine trois lignes.
"SINGULUM : Sans avoir m'a laissié tout sengle (Rutebeuf)." Note de bdp, p.8 de l'édition originale (que je fais croire avoir).