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L'éléphant

Je vous veux fidèles à nos autres voyages
Moi qui me tarde et péniblement vais ma danse
Lourd est mon pas, léger est mon coeur au bel âge
(L'éléphante et mon éléphanteau me distancent)

Voyez sur ma peau l'oiseau croquant coquillages
Ois ma fillette comme à ton front mes mots froncent
Je viellis quand ta maman est de plus jeune âge
Et d'autre continent qui ne connaît la ronce

Par les chemins j'ai couru les griffes du monde
Douanier, griffon, solen ou molle arénicole
Jusqu'au donjon du krak, j'ai cru voir l'amour fol

Me voilà bien las, gardant seule ma faconde
Ne combattant plus que larmes de crocodile
Qui tombent d'on ne sait, sur Toi petite fille

Commentaires

  • très émouvant, monsieur défense d'y voir !

  • ah ah vous faites dans le calembour maintenant ?

  • enfance et larmes crocodilesques expliquent le côté carambar-collant de ce commentaire... l'émotion n'a pas le droit, parfois, de calembourer ? clin d'oeil et d'yeux à vous.

  • si bien sûr, et ce calembour n'est pas si mauvais. mais j'ai bien entendu vos deux premiers mots, merci.

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