Dans l'Enfer des musiciens de Jérôme Bosch xvs, dans la Porte du Paradis de Ghiberti xvs ou dans la Porte de l'Enfer de Rodin xixs on peut découper les scènes en petites cellules comme dans le langage rythmique. Cela nous permet en tout cas d'ouvrir la porte de l'avant-dernier chapitre que j'ai conscacré à l'architecture fondamentale de mon goût pour la poésie; le rythme. Voici en guise de matériel technique et rudimentaire une petite histoire de la phrase que j'ai découpé en cellule atomique !
Commentaires
Le rythme n'a pas qu'une dimension formelle. La méthode Carl Orff par ex. usait pour les enfants de divers instruments (tambourins, cimbales, castagnettes, etc...) pour les initier en quoi le rythme se vit aussi par le corps et esthétise son expressivité. Le rythme dans la peau diront certains mais la peau n'est-elle pas ce qu'il y a de plus profond comme dit le poète ? Le rythme en poésie n'est-il pas question aussi de "souffle" ? Pour approfondir ce thème de manière large, je renvoie à cette page avec un bon article du DR Chauchard :
http://askesis.hautetfort.com/archive/2006/01/31/with-rythm.html